TRIBAL MUSIC
Posté par tairrastrange le 19 septembre 2018
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Posté par tairrastrange le 19 septembre 2018
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Posté par tairrastrange le 19 septembre 2018
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Posté par tairrastrange le 11 septembre 2018
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Posté par tairrastrange le 28 juillet 2018
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- Les Shuars sont à peu près 40 000.
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Les Shuars vivent dans les provinces de Morona, Santiago,
Zamre, Chinchipe et Pastaza
en Équateur
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- Shuar veut dire « gens » dans leur langage.
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Ils ont un système économique basé sur leurs besoins
et non sur la possession à outrance.
Ils ne prélèvent donc de la Nature
que ce qui est nécessaire pour faire vivre leurs familles.
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Les hommes Shuars portent des jupes en coton colorée.
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Les femmes Shuars portent des tuniques colorées
qu’elles attachent à l’épaule,
et qu’elles agrémentent d’une ceinture ou d’un cordon.
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Les Shuars aiment aussi porter des bijoux et des couronnes de plumes.
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Ils croient en une évolution en 3 étapes qui leur donnera 3 âmes et 3 esprits.
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C’est à partir de 6 ans que le jeune Shuar commence à chercher l’esprit d’Arutam
en faisant des pélerinages dans des lieux sacrés,
comme les cascades,
et en suivant des diètes de plusieurs jours.
Plus tard il utilisera des « thés hallucinogènes » pour acquérir les autres esprits.
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Le shaman s’appelle Uwishin.
Son rôle est très important car il permet la cohésion du groupe,
il transmet les savoirs
et officie en temps qu’homme médecine.
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Chez les Shuars, la maladie est juste un déséquilibre entre l’homme et la Nature
dont il fait partie.
Elle ne survient que lorsque l’individu est en désaccord avec lui-même,
les autres ou le monde.
Guérir c’est juste rétablir l’équilibre.
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La maison Shuar est une grande hutte en bois et en feuilles de palmiers.
Elle est divisée en deux sections,
un côté réservé aux hommes,
un côté réservé aux femmes.
Le côté homme s’appelle Tankamash.
C’est l’endroit où sont reçus les visiteurs à qui on offre la Chicha,
une boissson fermentée au manioc.
Le côté femme s’appelle l’Ekent.
C’est l’endroit où sont faites toutes les tâches domestiques, dont la cuisine.
Cet endroit est strictement interdit aux étrangers.
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Dans la société Shuars, la réciprocité est au centre de leur vie sociale.
Chacun reçoit l’aide dont il a besoin.
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Les hommes s’occupent de la pêche, de la cueillette en forêt,
et de la chasse
qu’ils pratiquent à la sarbacane et aux dards de curare.
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Les femmes s’occupent de la maison, de la culture du jardin et de l’élevage.
Dans leur jardin elles sont responsables des plantes nécessaires au repas
(comme le manioc),
mais aussi de celles nécessaires au soins et à la cosmétique
(comme l’anato ou le génipa)
et de celles nécessaires à la médecine.
Elles s’occupent aussi du tissage, de la poterie, du tressage des sacs.
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Particularités Shuars : les tsantzas.
Les tsantzas sont les têtes réduites des ennemis
qui sont portées comme trophée par le vainqueur.
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rituel Tsantza trouvé sur http://www.kanada.net/ecuador/shuar_1_fr.html
« Après avoir tué un ennemi, le guerrier lui coupe la tête et va se cacher dans la forêt
où il va jeûner 8 jours.
Ensuite, il enlève la peau de la tête et la met à bouillir dans de l’eau
puis la sèche lentement sur des cendres chaudes.
Ensuite il met des cailloux chauds dedans, ferme le cou et secoue la tête.
Ensuite il peint le visage et reforme la peau jusqu’à ce qu’elle reprenne ses traits naturels. »
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Posté par tairrastrange le 27 juillet 2018
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Les Maonans sont à peu près 72 400 personnes.
Ils vivent dans la partie nord de la région autonome zhuang
du Guangxi en Chine.
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Ils sont surtout agriculteurs
mais sont réputés pour être d’excellents éleveurs de bovins.
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Ils pratiquent le tressage du bambou,
la fabrication d’articles en bois et la fonte du fer.
Les maisons ont habituellement deux étages, des murs en terre et un toit en tuiles.
L’étage sert d’habitation et le rez-de-chaussée est occupé par les animaux.
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Ils mangent surtout du riz mais aussi du millet, des patates et des citrouilles.
Ils sont très friands de tabac, de thé et de piments.
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Les Maonans sont réputés pour leur politesse et leur hospitalité.
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Posté par tairrastrange le 26 juillet 2018
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Les Ibalois vivent dans les Philippines,
la province de Benguet au nord de Manille.
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Ce sont surtout des cultivateurs,
mais ils pratiquent aussi la chasse et l’élévage.
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Ils cultivent les champs en terrasse.
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Le Ibalois pratiquent traditionnellement la momification.
Pour cela ils fument le cadavre pendant des mois
pour complètement déshydrater le corps mort.
Ils conservent toutes les parties du corps,
y compris les tatouages et les organes internes.
Ils enveloppent ensuite soigneusement le corps
et le placent dans une caverne sacrée pour eux.
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Posté par tairrastrange le 25 juillet 2018
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Les Mentawaïs vivent dans l’île de Siberut
à 15 km des côtes de Sumatra.
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Ils sont à peu près 45 000.
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Ce sont des chasseurs-pêcheurs-cueilleurs.
Ils élèvent aussi des porcs et des poulets.
Ils sont très friands de la pulpe de l’arbre « sagout »,
et de « tamara » (larve de coléoptère) qui niche dedans.
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Ils sont aussi appelés « hommes-fleurs » car ils adorent se parer de fleurs.
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Les Mentawaïs utilisent des flèches empoisonnées
pour chasser le sanglier ou le singe.
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Avant chaque départ pour la chasse,
les hommes demandent toujours aux Esprits de la forêt
de leur permettre de tuer un animal
et de leur porter chance.
C’est le chaman (teoreun) qui pratique la cérémonie
et prépare le poison pour les flèches.
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La pêche est plutôt réservée aux femmes et aux enfants.
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Les mentawaïs sont de gros consommateurs de fruits.
Ce sont les hommes qui sont chargés de monter les chercher dans les arbres,
haut de 20 mètres parfois.
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Les tatouages
Les Mentawaïs se tatouent tout le corps.
Leurs dessins symbolisent souvent leur croyance animiste.
Ils indiquent aussi à l’âme qu’il est inutile de vouloir quitter le corps
puisque celui-ci est tout en beauté.
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Les tatouages permettent aussi de savoir
à quel clan appartient chaque individu
puisque chaque famille à un symbole qui lui est propre ( le soleil, la lune…).
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Les tatouages se font évidemment petit à petit tout au long de la vie.
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Hommes et femmes se font tatouer de la même façon
sauf que les femmes ne se tatouent ni les bras ni les cuisses.
Les dessins sont faits à l’aide d’un « patit » (petit pinceau avec une pointe de laiton)
l’encre est constitué de noir de fumée (récupéré sur les marmites)
et de jus de canne à sucre.
Les motifs sont d’abord dessinés sans encre
puis, si les anciens sont d’accord sur les dessins,
le tatoueur les trace avec le « patit »
auquel il donne de petits coups secs pour que l’aiguille pique la peau
et la marque avec l’encre.
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Chaque famille Mentawaï a une « uma », une petite maison individuelle.
Tous les habitants se retrouvent aussi dans une maison collective
pour y célébrer le culte de leurs ancêtres, prier etc…
C’est aussi là que les plus petits sont initiés à la vie en forêt.
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Les Mentawaïs n’ont pas de chef,
chacun sait ce qu’il a à faire.
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Tradition Mentawaï
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Fumer est chez eux une tradition.
Leurs cigarettes sont des plus naturelles
puisqu’elles sont fabriquées avec des feuilles de bananier séchées.
Tous, sont très amateurs de ces cigarettes.
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Posté par tairrastrange le 24 juillet 2018
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Le cercle du drapeau représente le soleil (rouge) et la lune (bleue).
Le drapeau a les couleurs des Sámit: rouge, vert, jaune et bleu.
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les Saamis, ou Sámit, sont disséminés sur quatre états :
Norvège, Suède, Finlande et Russie.
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Autrefois appelés « lapons »,
ce nom a été rejeté au profit de saami ou samit,
car il voulait dire porteur de haillons en suédois.
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Ils sont à peu près 70 000 à 100.000
dont 85 000 sont nomades.
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Leur terre ancestrale s’appelle le Sapmi.
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Ce sont des pêcheurs
et des éleveurs, de rennes surtout.
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Les Samis nomades vivent sous la tente en été
et dans des maisons de bois pendant la saison froide.
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MUSIQUE ET CHANT SAAMI
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Les instruments traditionnels sont la flûte « fadno » et des tambours,
leur chant traditionnel s’appelle « Joik » (yoik)
Il se chante acappella et a la particularité d’émettre de graves sons de gorge.
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Posté par tairrastrange le 23 juillet 2018
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Les Kamayurás sont un peuple du Brésil.
Ils vivent dans deux villages du Parque Indigena do Xingu
dans l’État du Mato grosso.
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Leur nom provient, via le portuguais, d’un plateau pour conserver la viande.
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Ils parlent le kamayura.
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En 2004, ils étaient 355 individus.
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Description des villages
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Les maisons Kamayurá sont sombres et ont un toit rond recouvert d’herbe.
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Ils ont une « Maison de la flûte » qui sert de lieu de rencontre pour les hommes
Là, les hommes se rassemblent pour jouer la flûte,
et pour discuter des choses du village.
Jouer de la flûte est réservé aux hommes.
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La Kamayurá cultivent également des jardins autour de leur village
pour leur production alimentaire.
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Histoire
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Le Kamayurá vivent depuis environ 1900 dans le sud de la Ipavu du lac.
Les anciens disent que leurs ancêtres sont venus du Nord.
Ils ont émigré parce qu’ils y avaient des conflits avec les tribus Suya et Yudja.
C’est seulement en 1946 qu’ils ont été en contact avec des explorateurs européens.
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Organisation sociale
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La société Kamayurá se compose de plusieurs villages,
Les sexes sont séparés peu de temps après la puberté.
Les garçons apprennent l’art de la chasse avec l’arc et la flèche.
Ils apprennent à travailler dur et à tresser des paniers.
Ils doivent aussi lutter quotidiennement contre l’autre
afin de renforcer leurs muscles.
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Les filles apprennent à tresser des nattes et à gérer le budget.
Ce sont elles qui ont la responsabilité des enfants.
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Après quelques années, ils sont prêts à se marier.
Ils obtiennent alors un nouveau nom,
et leurs oreilles sont percées.
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Les deux sexes apprennent à danser et à prendre soin de la famille.
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Habitudes alimentaires
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Leur principale source de nourriture sont des poissons,
une sorte de gruau et des bananes.
Leur assaisonnement préféré est le poivre.
Ils recueillent également des baies sauvages et du miel.
et chassent des animaux dans la forêt.
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